Assis sur ton banc,écoutant le chant des oiseaux , les rires des enfants ..

Johanna arrive dans le parc, il y a beaucoup de monde, surtout des enfants, les oiseaux sont nombreux, eux aussi. Johanna regrette de ne pas avoir emmener son appareil photo. Elle marche autour du lac, et va s'assoir sur une balançoire.

Anita arriva, un carnet à la main. Elle aimait bien écrire dans ce parc magnifique, qui l'inspirait. Elle s'assit sur un banc en face du lac et pris son stylo.

Johanna vit sa sœur. Au début, elle décida de rester sur sa balançoire, puis elle se leva, et commença à rejoindre sa sœur, en marchant lentement, en regardant le paysage, les oiseaux autour d'elle.

Anita écrivait. Elle écrivait de tout, de rien. Elle ne vit pas Johanna s'approcher.

Johanna regardait les enfants joués, elle en reconnaissait deux mais ne savait comment elle les avait connus. Puis elle se mit à accélérer.

Anita releva la tête, histoire de regarder ce qu'il y avait autour d'elle et d'avoir quelques idées. De faire une petite pause d'écriture. Elle tomba nez à nez avec le ventre de Johanna. Elle fit un bond en arrière, surprise.

Johanna explose de rire.

[A mon anniversaire dernier, j'avais eu un Nikon D5000. J'avais eu l'objectif à Noel .]

Anita refermes son calepin et range son stylo. Elle se dirige vers le chemin de la maison.

Johanna la suit.

Arrivées à la maison, Anita attrapa son appareil et attendit Johanna devant la porte.

Johanna alla voir sa sœur, elle ne trouvait pas son appareil.

Anita retourna au parc avec Johanna.

Johanna vas vers le chêne, elle voit sa sœur qui rêve au lieu d'allumer l'appareil.

- Ouais c'est bon, j'avais la tête ailleurs.

Anita continue de regarder le point qu'elle fixait, car elle avait beau le fixer elle ne le regardait pas et ne savait pas ce que c'était. C'était.. Un oiseau, dans un arbre, en train de faire son nid. Elle sourit puis allume l'appareil.

Johanna essayait de suivre le regard d'Anita, pour voir ce qu'elle fixait. Elle bougeait la tête et regardait au dessus d'elle. Puis tournait sa tête. Ce n'est que quand elle se rendit compte qu'elle avait l'air débile qu'elle demanda :